Michel Amiri

Psychologue clinicien et psychothérapeute cognitivo-comportementaliste spécialisé en psychopathologie clinique infanto-juvénile et de la petite enfance, ainsi que de l'adulte, j’ai fait le choix, depuis plus de 20 ans, de la guidance parentale et de son rapport à la psychothérapie (le parent est au centre du processus d’aide à l’enfant/adolescent en difficulté). Mon champ d’activité englobe, l’évaluation, l’accompagnement et la prise en charge d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes présentant des difficultés d’ordre psychique, cognitif, émotionnel ou psychosocial se manifestant dans les cadres familiaux, scolaire ou social. Que ces troubles soient légers ou installés : moments dépressifs, manifestations et symptômes à type d'anxiété, les troubles caractérisés des conduites et des comportements, conduites d'opposition, agressivité, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), troubles du neurodéveloppement déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H), troubles DYS, les difficultés scolaires (troubles cognitifs et des acquisitions scolaires, phobie scolaire, harcèlement, etc.), trouble de stress aigu et post-traumatique. Soutien à la parentalité : centré sur le lien parent/enfant, ce soutien à la parentalité, se situe sous le signe de l’apprentissage du "métier de parent" qui peut-être en difficulté face à des crises familiales évolutives (séparation, divorce, recomposition familiale), des difficultés éducatives (problèmes d’autorité, difficultés d’un parent seul, parent possiblement maltraitant), des événements internes à la famille (précocité intellectuelle, maladie psychique, handicap, adoption d’un enfant, échec scolaire, etc.). Le cadre des consultations est toujours bienveillant et respecte le code de déontologie des psychologues (confidentialité, soumis au secret professionnel et absence de jugement). Méthode de travail utilisée : Thérapie brève, psychothérapie de soutien, analytique ou thérapie comportementalo-cognitive, thérapie familiale. Bilan psychométrique (QI), bilan attentionnel et bilan psychologique. Dans ma pratique clinique, j'utilise des médiations telles que le jeu, le dessin, etc. pour étayer la parole de l'enfant ou de l'adolescent(e). Comment ça se passe en pratique ? La première phase appelée aussi "premier entretien", se fait toujours en présence des parents et regroupe 1 à 2 séances au total. Ce sont des séances de description des difficultés de l’enfant ou de l’adolescent, suivant une approche fonctionnelle, nous analysons ensemble toutes les données sur le problème afin de définir les objectifs du suivi en psychothérapie de soutien. La deuxième phase rassemble les séances de la thérapie proprement dite. L’enfant ou l’adolescent est reçu individuellement une fois par semaine ou tous les quinze jours, pendant 45 minutes à une heure. Une régularité est souvent requise afin que la séance s’inscrive dans le rythme hebdomadaire de l’enfant ou de l’adolescent qui consulte comme un repère rassurant. Chaque séance est toujours accompagnée d’une autoévaluation. La troisième phase se constitue de deux ou trois séances de post traitement, effectuée à intervalles de temps. Combien de séances sont nécessaires ? La durée d’une psychothérapie peut-être très variable et varie selon l’âge de l’enfant ou de l’adolescent, l’environnement familial et l’intensité des troubles rencontrés, trois à quatre séances peuvent parfois suffire, quand il s’agit de débloquer une situation ponctuelle qui nécessite un bref accompagnement, une écoute attentive dans un cadre contenant. Pour des troubles installés, le nombre de séances peut être plus important. Le nombre de séances dépendent également de l’engagement contracté vis-à-vis de soi-même et du psychologue et donc de l’assiduité et l'implication dans le travail thérapeutique.