Mathilde Raynaud

Pour prendre rendez-vous, cliquez sur mon site web. Psychologue clinicienne diplômée d’un master en psychologie clinique, psychopathologie et psychologie de la santé à Toulouse, j'accompagne les adolescents, les jeunes adultes et les adultes à mon cabinet aux Carmes. Mon approche : D'approche intégrative, j'intègre divers référentiels théoriques à ma pratique, notamment les TCC dont j’apprécie le côté pragmatique et actif, car je suis soucieuse d’adapter mes techniques thérapeutiques et mes outils à la demande et aux besoins de chacun. En effet, j’estime qu’il n’y a pas une approche mieux qu’une autre, mais des approches qui conviennent le mieux à certaines personnes. Mes valeurs : Je tiens à apporter un accompagnement simple, doux et bienveillant. Prendre soin de l'autre, s'adapter à lui, créer un espace d'écoute sans jugement et le respecter dans sa singularité est essentiel pour moi. Je souhaite pouvoir valoriser et encourager les ressources de chacun. Mais aussi pouvoir apporter des clés et de la compréhension sur les émotions, le fonctionnement de notre cerveau et de nos mécanismes psychiques. Je n’ai pas peur de préciser que je suis militante, et que je ne conçois pas de faire ce métier sans agir au quotidien en parallèle. Pour moi, mon métier de psychologue a une composante sociale non négligeable et il est très important d’aborder les problématiques de chacun à travers le prisme du fonctionnement dominant de notre société. Pour qui et pour quoi ? Il n’est pas obligatoire d’avoir un trouble pour consulter un psychologue : votre rendez-vous peut simplement s’inscrire dans l’objectif d’un mieux-être global, ou d’amélioration de certains aspects de votre vie, et vous en êtes tout à fait légitime. Les adolescents : Il n’existe pas de crise d’adolescence comme on l’entend en psychologie populaire. Ce terme est souvent utilisé afin de minimiser le ressenti du jeune et normaliser que le problème vient de lui/elle. L’adolescence est une période de crises (crises au pluriel !) et le comportement de l’entourage joue un rôle important dans la régulation émotionnelle de l’adolescent-e. Ainsi, le travail avec l’adolescent-e s’articule principalement sous la forme d’une psychothérapie de soutien, c’est-à-dire que la thérapie n’a pas pour objet de travailler sur la structure profonde, l’adolescent étant déjà en plein remaniement psychique. Voir un psychologue lorsqu’on est adolescent-e permet de déposer sa souffrance, de bénéficier d’une écoute profonde et sans jugement. On peut également poser des questions sur des sujets parfois jugés tabous en société. De fait, je propose d’accompagner les adolescents souffrant d’anxiété, de phobie scolaire, de dépression, de difficulté d’estime de soi, mais aussi les adolescents en plein questionnement par rapport à leur identité de genre ou leur orientation sexuelle. Les adultes : - les émotions et troubles thymiques : chez les adultes, je vais axer mon accompagnement sur diverses problématiques telles que la dépression, le burn-out, la gestion du stress et des émotions (angoisse, anxiété, colère, tristesse, etc.), en proposant des outils de TCC ; - la parentalité : la grossesse et les premières années de parentalité sont une période de profonds réaménagements qui peut osciller entre bonheur et bouleversements. Il peut arriver parfois de se sentir dépassé, ou de craindre de ne pas appliquer les bonnes méthodes à l’heure où les injonctions au perfectionnisme sont très présentes sur internet. En plus des difficultés, il peut s’ajouter un manque de compréhension de la part d’autrui : « vous le vouliez cet enfant, de quoi vous vous plaignez ? ». Or, la réalité est plus complexe, et la société tend à enjoliver la parentalité, et plus précisément la maternité. Il est important de lever les tabous, ce pourquoi je propose un accompagnement permettant de vous soutenir dans ce processus de réaménagement et à vous aider à inventer votre propre manière d’être parents ; - les personnes âgées : de part mon expérience en EHPAD, j'ai pu étendre mon domaine d'expertise auprès des sujets âgés. Souvent isolés, nos aïeux se retrouvent face à des deuils répétés du/de la conjoint-e, mais aussi des amis et des autres membres de la famille. Ainsi, la solitude, la perte d'appétit, les idées noires peuvent être une véritable souffrance pour ces personnes.