Diplômé d'un Master II de Psychologie sur les « liens familiaux et psychologie des actes » et d'un Doctorat de Psychologie clinique, mon double parcours d'enseignant-chercheur universitaire et de psychologue a enrichi ma pratique.
L'enseignement que j'ai dispensé et mes recherches universitaires m'ont permis de me familiariser avec un grand nombre d'approches thérapeutiques et surtout de me spécialiser dans différents domaines tels que les problématiques familiales (secrets de famille, le générationnel), les liens du couple, l'image du corps (troubles alimentaires, atteinte à la personne), la dépression, le burn-out, les addictions, la gestion du stress, la prise en charge des troubles de la personnalité et bien d'autres.
J'ai pu mettre en pratique ces acquis théoriques en tant que psychologue dans différentes institutions tout en complétant mon domaine d'expertise.
Mon parcours professionnel et mes formations se sont effectués dans diverses institutions : en service de procréation médicalement assistée (PMA), en CHU, en centre de guidance infantile (CGI), à l'Union départementale des associations familiales (UDAF), en maison de retraite, etc.
Pour quelle raison peut-on consulter un psychologue ? :
- gestion du stress ;
- troubles de l'anxiété ;
- gestion des émotions ;
- dépression ;
- burn-out ;
- soutien psychologique ;
- bilan psychologique ;
- troubles alimentaires (anorexie, boulimie, ...) ;
- addictions (alcool, cigarette, drogues) ;
- thérapie familiale ;
- conflits familiaux ;
- thérapie de couple ;
- infertilité masculine et féminine ;
- troubles de la sexualité ;
- troubles du sommeil ;
- spectre autistique ;
- gestion de la colère ;
- troubles de la personnalité ;
- difficultés scolaires ;
- harcèlement, etc.
Mes axes de recherche.
La notion de transmission transgénérationnelle et intergénérationnelle, le secret de famille.
Ces recherches ont pour but de mettre en évidence la place de la transmission transgénérationnelle et intergénérationnelle dans l'infertilité. Le secret de famille peut-il être au centre de l'incapacité de procréer ? Nous nous sommes intéressé à la place de l'enfant comme passeur de relais du générationnel.
Mes travaux se sont nourris des observations et expérimentations effectuées dans un service de procréation médicalement assistée en CHU. Ils ont pour base théorique les travaux de Fenrenczi (1932), de N. Abraham et M. Torok (1978) sur les notions de fantôme et de crypte, de Serge Tisseron (1985 à 1996), de Sylvie Faure-Pragier (1997) et de Monique Bydlowsky (1997).
Intersubjectivité, corporéité et construction de l’espace psychique
(notion d'image du corps individuel et familial, notion d'habitat en termes de représentation psychique de l'image du corps familial).
Ces recherches ont abouti à l'écriture d'une thèse sous la direction du professeur Patrice Cuynet soutenue publiquement et qui a été récompensées par l'attribution du grade de docteur (Patrice Cuynet, professeur de psychologie à l'université de Franche-Comté ; Denis Mellier, professeur et directeur du laboratoire de psychologie à l'université de Franche-Comté ; Philippe Robert, professeur de psychologie à l'université de Paris Descartes, Paris V, rapporteur ; Ouriel Rosenblum, professeur de psychologie à l'université Denis Diderot, Paris VII, rapporteur ; Perla Serfaty Garzon, professeur de sociologie à l'université de Strasbourg et Montréal).
La conception de la maison en tant que corps familial fait son apparition en 1957 dans "La poétique de l'espace" de Gustave Bachelard où il présente la maison comme le corps du rêveur et ses parties. En 1966 C. G. Jung dans "Ma vie" évoque sa relation avec son habitation en le décrivant comme une forme maternelle. Isidoro Barestein (1976) est le premier à mettre en avant l'intérêt de l'habitat comme "peau réelle ou fantasmée de la famille". Alberto Eiguer en 1983 développe le concept "d'habitat intérieur" comme peu consolidée du corps familial. Cette conceptualisation de la maison en tant que corps familial s'appuie sur les concepts autour de l'image du corps familial qui prend naissance dans la notion d'image du corps (P. Schilder, 1923) et de Moi-peau (D. Anzieu, 1985).
L'objectif de cette recherche universitaire était de disserter sur les différences qui peuvent subsister dans le type d'investissement psychique de l'habitat entre les familles françaises et américaines.
L'une des hypothèses centrales de cette recherche nous laisserait penser qu'il y aurait une différence dans la structuration de l'image du corps familial entre les familles françaises et les familles américaines.
L'autre hypothèse centrale est que d'un point de vue prototypique les maisons américaines répondraient à un mimétisme de type protéiforme, alors que les maisons françaises présenteraient un mimétisme de type cryptique.
Pour cette recherche, je me suis appuyé sur des bases théoriques cliniques d'ordre psychanalytiques du groupe et de la famille notamment avec les notions d'organisateurs du groupe (D. Anzieu 1975), d'appareil psychique familial (A. Ruffiot 1979) et d'organisateur de la vie inconsciente familiale (A. Eigeur 1984). J'ai aussi tenté de faire état des principales théorisations autour du lien et de la transmission, ainsi que de l'image du corps individuel et familial avec les concepts de Moi-peau, de pare-excitation (D. Anzieu 1985).
Master en psychologie clinique et pathologique - Université de Bourgogne Franche-Comté (UBFC)
Autres formations
2015
Doctorat en psychologie clinique - Université de Bourgogne Franche-Comté (UBFC)
Expérience
Clinicien-chercheur - Centre Hospitalier Régional Universitaire de Besançon - Besançon - Procréation médicalement assistée (PMA)
Cabinet - Nice
Horaires et coordonnées
Horaires d'ouverture
Contact d'urgence
En cas d'urgence, contactez le 15 (Samu)
Coordonnées
06 98 39 92 59
Tarifs
Entretien individuel60 €
Entretien de couple70 €
Entretien familial70 €
Ces honoraires vous sont communiqués à titre indicatif par le soignant. Ils peuvent varier selon le type de soins finalement réalisés en cabinet, le nombre de consultations et les actes additionnels nécessaires. En cas de dépassement des tarifs, le soignant doit en avertir préalablement le patient.