Dr Andrej VRANIC

dr.andrejvranic@gmail.com Neurochirurgien depuis 2004, formé au CHU de Ljubljana, connu pour la chirurgie de la base crânienne. Examen européen de neurochirurgie en 2005. Travail de recherche doctoral (PhD) focalisé sur les méningiomes atypiques, avec stage post doctoral à l’INSERM à Paris. Développé la chirurgie éveillée au poste de MCU-PH. Expert judiciaire médical depuis 2012. En France depuis 2015, qualifié spécialiste en neurochirurgie par le Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins de la Ville de Paris. Expérience en neurochirurgie pédiatrique (Fondation Rothschild), vasculaire, endoscopique, ainsi qu'en chirurgie de l'épilepsie. Autorisé à exercer en Secteur 2. Accrédité auprès de l’HAS pour la gestion des risques. Principale orientation clinique : rachis tumoral et dégénératif ainsi que la chirurgie des méningiomes. Publications accessibles en ligne https://www.researchgate.net/profile/Andrej_Vranic. ... 25 years of experience in spinal and cranial neurosurgery. For the last 8 years, I've been living and working in Paris, France. My primary surgical interests are spinal and meningioma surgery, neurooncology, awake craniotomy, and epilepsy surgery. My research work has been focused on cervical spine, epilepsy surgery, aggressive meningiomas and preservation of cortical function with cortical mapping. I like doing medical expertise and research in bioethics. ... Mes Principes de Travail en Tant que Neurochirurgien du Rachis En tant que neurochirurgien spécialisé dans le traitement des pathologies du rachis, ma pratique est guidée par un ensemble de principes qui visent à garantir à mes patients les meilleurs soins, dans un environnement de confiance et de respect. Ces principes ne se limitent pas à l’expertise technique, mais intègrent également une approche humaine et personnalisée de chaque situation clinique. 1. Une écoute attentive et une évaluation complète La base de toute prise en charge réussie commence par une écoute attentive du patient. Chaque individu présentant une pathologie du rachis est unique, avec ses propres antécédents médicaux, ses symptômes et ses préoccupations. C’est pourquoi j’accorde une grande importance à une évaluation complète, incluant non seulement un examen clinique approfondi, mais aussi des échanges détaillés avec le patient pour comprendre l’impact de sa condition sur sa qualité de vie. Cette écoute me permet de personnaliser chaque traitement, en prenant en compte les aspects physiques, émotionnels et sociaux qui peuvent influencer la guérison et le bien-être général du patient. 2. Une approche multidisciplinaire Le traitement des pathologies du rachis ne se limite pas à la neurochirurgie. Il est essentiel d’adopter une approche multidisciplinaire en collaboration avec des kinésithérapeutes, des radiologues, des anesthésistes, et parfois même des psychologues, selon les besoins du patient. Cette collaboration me permet de proposer des solutions globales et intégrées pour optimiser le rétablissement et améliorer les résultats à long terme. 3. Privilégier les solutions non chirurgicales lorsque cela est possible Je crois fermement en l’importance de privilégier les traitements conservateurs avant d’envisager la chirurgie. En tant que neurochirurgien, ma mission est d’aider le patient à retrouver sa qualité de vie avec le moins d’intervention possible. Cela implique des traitements comme la physiothérapie, les infiltrations, ou encore la gestion de la douleur, qui peuvent souvent être des alternatives efficaces à la chirurgie, selon le cas clinique. Cependant, lorsque la chirurgie devient nécessaire, je veille à expliquer clairement au patient les raisons de cette décision, ainsi que les bénéfices et les risques associés à l’intervention. 4. Une chirurgie minimalement invasive et de pointe Lorsqu’une intervention chirurgicale est incontournable, je m’engage à utiliser les techniques les plus modernes et les moins invasives possibles. Je n’utilise pas d’implants sauf en cas des cages cervicales. La neurochirurgie du rachis a fait des progrès remarquables ces dernières années, avec l’apparition de techniques chirurgicales moins invasives et plus précises. Je m’appuie surtout sur la microchirurgie avec le but de bien visualisé le nerf affecté avant de le décomprimer. Cette technique permettent une récupération plus rapide, une douleur postopératoire réduite et des cicatrices moins visibles, tout en offrant des résultats tout aussi performants, voire supérieurs, aux interventions plus extensifs et plus longues. 5. Un suivi post-opératoire rigoureux La prise en charge d’un patient ne s’arrête pas à la sortie du bloc opératoire. Le suivi post-opératoire est crucial pour garantir une récupération optimale et prévenir d’éventuelles complications. Je m’assure que chaque patient bénéficie d’un suivi personnalisé, avec un programme de rééducation adapté à son cas, et je reste disponible pour toute question ou inquiétude après l’intervention. 6. L’humain au cœur de la pratique Enfin, mon principe fondamental est de placer l’humain au centre de chaque acte médical. La relation de confiance avec le patient est essentielle pour obtenir une bonne coopération et un engagement dans le processus thérapeutique. Chaque décision médicale est prise en concertation avec le patient, dans le respect de ses attentes et de ses objectifs personnels. Dans mon travail, je me considère non seulement comme un médecin, mais aussi comme un partenaire qui guide ses patients à travers les défis de leur pathologie rachidienne, avec bienveillance et professionnalisme. ⸻ En somme, mes principes de travail en tant que neurochirurgien du rachis reposent sur une approche globale et humaine, alliant expertise technique, écoute attentive, et collaboration avec les autres professionnels de santé. Mon objectif est de permettre à chaque patient de retrouver une qualité de vie optimale, en toute sécurité et avec le moins d’interventions possibles.